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Mise à jour : 

16/12/2024

Gucci, Yeezy, montres de luxe et développement durable.

Sommaire

 

 

Un célèbre site vient de publier son rapport annuel sur la revente des objets de luxe, offrant ce qu’il appelle « un regard définitif sur les changements d’achats et les tendances montantes de la revente de luxe ». Après avoir examiné « les données relatives aux ventes et à la demande de millions d’acheteurs et de millions d’articles vendus », le site de revente de produits de luxe a fait la lumière sur les 10 marques les plus recherchées ; sur la façon dont les acheteurs se comportent réellement sur le marché et sur l’état du marché des montres de luxe. Voici quelques-unes des conclusions les plus frappantes.

 

Top marques

Parmi les 10 marques les plus recherchées de l’année figurent Gucci, Louis Vuitton, Prada, Hermès, Fendi, Christian Dior, Valentino, Christian Louboutin et Balenciaga. 

Dans le top 3 des marques les plus recherchées, si Gucci et Louis Vuitton continuent de gagner du terrain, cela s’est fait au détriment de Chanel.

 

Top montres 

 

Les jeunes acheteurs tirent la charge des ventes de montres de luxe. La croissance des ventes de montres « de grande valeur », telles que Audemar Piguets, Patek Philippes et divers garde-temps Rolex et Cartier, a augmenté de 58 % de la part des consommateurs âgés de 18 à 34 ans, et de 145 % pour ceux âgés de 35 à 44 ans, qui optent pour des montres d’une valeur de 5 000 euros et plus.

Au delà des montres qui coûtent entre 5 000 et 10 000 euros aux consommateurs, dont le volume des ventes a augmenté de 48 pour cent, les ventes de montres d’une valeur comprise entre 30 000 et 50 000 euros ont augmenté de 126 pour cent sur un an.

 

Durabilité 

 

La durabilité a joué un rôle important dans les motivations des consommateurs lors de leurs achats cette année. Il est intéressant de noter que 32 % des consommateurs ont déclaré faire leurs achats sur internet pour remplacer l’achat de vêtements et d’accessoires à la mode, tandis que 78 % ont déclaré avoir changé leur façon de faire leurs achats. Il s’agit notamment d’être « plus avertis sur la façon dont ils investissent et sur l’impact de ce qu’ils achètent sur la planète ».

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